"Un état de stress survient lorsqu’il y a déséquilibre entre la perception qu’une personne a des
contraintes que lui impose son environnement et la perception qu’elle a de ses propres
ressources pour y faire face"
cliquer icicontraintes que lui impose son environnement et la perception qu’elle a de ses propres
ressources pour y faire face"
En réalité, sur fond de crainte du chômage, le salariés sont de plus en plus confrontés à un régime de marche forcée qui exclue toute prise de recul, toute réflexion, voire toute intelligence du travail. Faute d'avoir des individus résistants et productifs, on feint de s’intéresser aux plus "contre productifs " d'entre eux qui ont uniquement besoin qu'on s’intéresse sans arrière pensées à ce qu'ils font plutôt que de se voir proposer une "reconnaissance" de leur plainte à travers ce que Yves Clot nomme les "couloirs humanitaires des organisations".
Ces acteurs préféreraient de très loin une reconnaissance effective de leur travail plutôt qu'une surveillance continue et le rappel constant à l'ordre productif et à l'ordre social. Alors comme si c'était une perte de temps il devient quasiment impossible de penser son propre travail ; d'un coté on entend "on n'a même plus le temps de parler boulot " et de l'autre "arrêtez de penser, agissez " comme si nous ne pensions pas notre action et que nous n' agissions pas de façon réfléchie !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire